Après le travail en cours, je me devais de poster le travail final. Je suis assez contente du résultat et je trouve que mon travail gagne en finesse (je m'applique...).
Ce petit éléphant volera pour un concours dont la date limite de participation est en octobre (je fais les devoirs en avance). Donc des nouvelles un peu plus tard.
Souhaitez bonne chance à mon petit éléphant !
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samedi 31 août 2013
mercredi 28 août 2013
samedi 24 août 2013
Retouche numérique
Le dernier devoir en date concernait la retouche numérique. Au menu, des images bitmap, vectorielles, du CMNJ et RVB... que de bonnes choses quoi. Au final encore un gros travail et une bonne note à la clé : 17,5.
Ce devoir m'a fait me poser une question existentielle : aujourd'hui, j'utilise un logiciel gratuit qui s'appelle The Gimp. Et non, pas de Photoshop sur mon PC. Pour mon utilisation actuelle c'est plus que suffisant. Je trouve assez dommage que l'école base les cours uniquement sur Photoshop et n'envisagent aucune autre solution. C'est quand même un produit commercial, un outil de travail et il est enseigné et préconisé comme si aucune autre solution n'existait. Suis-je seule à ne pas trouver cela normal ?
Bon, tout cela fini quand même par me faire douter car quand je pose la question à la prof, la réponse est : dans le monde pro, c'est Photoshop et rien d'autre. Bon, voilà, c'est dit.
Me voilà donc à nouveau en pleine incertitude : dois-je garder mon bon vieux Gimp qui rempli tout à fait ses fonctions ou dois-je finalement me convertir à Photoshop ??? Il y a du pour et du contre (dont mon mari qui s'avère assez virulent quand on aborde la question).
Donc, si vous avez un avis sur la question, n'hésitez pas à m'en faire part, surtout si vous connaissez les 2 outils. En effet, il me semble que beaucoup comparent les 2 logiciels sans avoir pratiqué suffisamment les 2 donc cela ne peut pas être tout à fait objectif (mon côté scientifique a besoin d'arguments rationnels).
Bon, je partage quand même avec vous la première partie du devoir sur les différences entre les images bitmap et vectorielles. Les fraises ci-dessous on été réalisées avec Gimp et Inskape, tous deux parfaitement et absolument légalement gratuits (non mais !).
Ce devoir m'a fait me poser une question existentielle : aujourd'hui, j'utilise un logiciel gratuit qui s'appelle The Gimp. Et non, pas de Photoshop sur mon PC. Pour mon utilisation actuelle c'est plus que suffisant. Je trouve assez dommage que l'école base les cours uniquement sur Photoshop et n'envisagent aucune autre solution. C'est quand même un produit commercial, un outil de travail et il est enseigné et préconisé comme si aucune autre solution n'existait. Suis-je seule à ne pas trouver cela normal ?
Bon, tout cela fini quand même par me faire douter car quand je pose la question à la prof, la réponse est : dans le monde pro, c'est Photoshop et rien d'autre. Bon, voilà, c'est dit.
Me voilà donc à nouveau en pleine incertitude : dois-je garder mon bon vieux Gimp qui rempli tout à fait ses fonctions ou dois-je finalement me convertir à Photoshop ??? Il y a du pour et du contre (dont mon mari qui s'avère assez virulent quand on aborde la question).
Donc, si vous avez un avis sur la question, n'hésitez pas à m'en faire part, surtout si vous connaissez les 2 outils. En effet, il me semble que beaucoup comparent les 2 logiciels sans avoir pratiqué suffisamment les 2 donc cela ne peut pas être tout à fait objectif (mon côté scientifique a besoin d'arguments rationnels).
Bon, je partage quand même avec vous la première partie du devoir sur les différences entre les images bitmap et vectorielles. Les fraises ci-dessous on été réalisées avec Gimp et Inskape, tous deux parfaitement et absolument légalement gratuits (non mais !).
jeudi 15 août 2013
Extraits
Quelques extraits de ma dernière création. Je ne publie pas la totalité maintenant parce que c'est pour un concours et je préfère garder le mystère jusqu'à la date limite en octobre... Un petit peu de superstition me portera peut-être chance.
J'ai combiné aquarelle, graphisme à la plume et à l'encre et quelques touches de gouache blanche. C'est un grand format, ça m'a donné du boulot...
J'ai combiné aquarelle, graphisme à la plume et à l'encre et quelques touches de gouache blanche. C'est un grand format, ça m'a donné du boulot...
Heureuse surprise
En ce 15 août, c'est avec peu d'espoir que je suis allée consulter le site de l'école Lignes et Formations pour voir si une petite note n'était pas tombée, par hasard. Et bien tout arrive, cela fait des jours que je suis pendue au site pour guetter ma note et c'est aujourd'hui que je la découvre. 19,5/20... Vous comprenez donc mon empressement à partager cela avec vous. Ah, au fait je ne vous ai pas dit de quel devoir il s'agit... c'est le devoir "Représenter l'homme". Un devoir à tiroir comme je les adore. Un devoir qui à l'air rapide (un ou deux croquis et hop) mais que finalement vous mettez 8 heures à faire (et vous avez fichtrement bien fait).
Aller, pour le plaisir voici quelques extraits du devoir :
...
...
...
Et l'étude du corps en mouvement : Charon passant les ombres sur le Styx de Pierre Hubert SUBLEYRAS.
A l'attention des élèves de Lignes et Formations qui viendraient faire un tour sur le blog : attention pour chaque question, je n'ai mis qu'un extrait, il manque un certain nombre de données pour le devoir. Si ce post vous à aidé ou si vous voulez quelques infos complémentaires, laissez moi un commentaire !!!
Aller, pour le plaisir voici quelques extraits du devoir :
...
...
...
Et l'étude du corps en mouvement : Charon passant les ombres sur le Styx de Pierre Hubert SUBLEYRAS.
L'artiste
Pierre
Hubert Subleyras (Saint-Gilles-du-Gard 1699, Rome 1749) est un
artiste français peu connu parce que bien que français de
naissance, il a fait toute sa carrière à Rome. Il est le fils d'un
peintre mineur d'Uzès, né la même année que Chardin, il fait
partie de la fameuse « génération de 1700 ». Il fait
son apprentissage à Toulouse près d'Antoine Rivalz puis se rend à
Paris en 1726. En 1727 , il remporte le prix de Rome avec un
toile intitulée Le serpent d'airain qui lui permet de partir pour
Rome l'année suivante. Il fut pensionnaire à l'Académie de France,
alors installée au palais Mancini, jusqu'en 1735. Marié à
Maria-Felice Tibaldi, une miniaturiste romaine qui reproduisit
souvent ses œuvres, il vécut dans la Ville Eternelle jusqu’à sa
mort en 1749 et ne retourna jamais en France. Arrivé à Rome à
trente ans, déjà en pleine possession de son art, Subleyras obtint
rapidement d'importantes commandes, d'abord dans le domaine du
portrait puis en tant que peintre d'histoire. Son art fut notamment
apprécié par les représentants des principaux ordres religieux qui
lui commandèrent de grandes compositions pour la décoration
d'églises à Rome ainsi que dans le reste de l'Italie et même en
France.
Sa
peinture est souvent vouée à des sujets religieux. Ses
compositions, lentement élaborées à travers de nombreuses études
peintes, concluent une longue réflexion.
L'oeuvre
Cette
oeuvre, conservée aujourd'hui au musée du Louvre, est une huile sur
toile de 135 x 83 cm peinte vers 1735. Il y est question de relater
un passage de la mythologie gréco-romaine. Charon, le passeur des
enfers, transporte dans sa barque les ombres des morts qu'il emmène
au delà du Styx. Habituellement, Charon est représenté tel un
vieillard sinistre et mal vêtu, fils de l’Érèbe et de la Nuit.
Inflexible, le passeur réclame toujours une obole aux morts afin de
leur faire passer le fleuve et de leur éviter d’errer
éternellement. Subleyras a interprété la mythologie antique en
représentant un homme jeune et musclé, vu seulement de dos,
écartant son bateau de la rive et emportant deux figures
fantomatiques assises au fond de sa barque.
Le
parti pris par Subleyras sur la composition frappe également :
la mort est l'éloignement. Charon tourne donc le dos au spectateur
et s'en va devant lui, vers l'autre bord. Cette
mise en scène est une nouveauté, Charon étant habituellement
représenté de face. Le
nu de dos est superbement maîtrisé.
Subleyras,
homme d'étude et d'assiduité, avait assez pratiqué, à l'Académie
de France de Rome, le dessin d'après modèle, pour maîtriser ce
morceau d'anatomie.
Au
loin, les supplices rougeoyants des enfers. On entrevoit la roue du
malheureux Ixion. Les âmes de passage, elles, sont couvertes de leur
suaire blanc qui les cache jusqu'au visage. Là
encore l'idée du peintre est une trouvaille qui
n'a encore pas été employée à l'époque :
un mort n'a pas d'existence
propre, donc pas de
traits. Et puis, ces grandes silhouettes prises dans les plis des
linceuls donnent à Subleyras l'occasion de traiter de grandes
surfaces blanches.
La
saveur de l'exécution, avec le jeu des reflets sur le grand nu, des
modulations des blancs qui contrastent avec le rougeoiement lointain
mais surtout l'invention qui représente Charon de dos et voile la
face des ombres : tout prend ici un accent grave et insolite
pour son époque.
Mouvement
et anatomie
La
composition permet de révéler l'arrière de Charon, complètement
nu, pourvu d'une belle musculature.
Charon
appuie son genou gauche au bord de la barque, ce qui nous révèle sa
plante de pied et nécessite l'emploi d'un raccourci pour représenter
son mollet. La jambe droite est bien ancré au fond de la barque,
très légèrement fléchie. La position du bas du corps démontre un
parfait équilibre.
L'action
se passe plutôt au niveau du haut du corps. Charon se penche à la
fois vers l'avant et vers la gauche pour réaliser le mouvement avec
la perche. Son bras gauche est tendu vers l'avant pour saisir la
perche au niveau de son épaule gauche, on ne le voit quasiment pas.
Son bras droit est levé, fléchi car sans doute en train d'amorcer
un mouvement vers le bas pour enfoncer la perche dans l'eau. Dans
cette position où le haut du corps est penché vers la gauche ;
l'épaule droite est très largement au dessus de l'épaule gauche.
On
ne voit que la chevelure de Charon, aucun trait de son visage. On
imagine la tête penchée vers l'avant, ce qui empêche de prendre sa
dimension stricte pour voir quel canon de proportion a pu être
employé.
A l'attention des élèves de Lignes et Formations qui viendraient faire un tour sur le blog : attention pour chaque question, je n'ai mis qu'un extrait, il manque un certain nombre de données pour le devoir. Si ce post vous à aidé ou si vous voulez quelques infos complémentaires, laissez moi un commentaire !!!
vendredi 9 août 2013
Petit bilan
Me voilà à la date anniversaire de ma formation, c'est donc l'heure d'un petit bilan. En un an, j'ai terminé 23 devoirs sur 58 à faire au total. 21 de ces devoirs ont été corrigés et deux sont en attente de notation. J'ai obtenu 16/20 de moyenne générale pour l'instant et j'espère que ça va continuer comme ça...
J'ai eu quelques déconvenues avec le module Dessin d'illustration avec 13,5, 14 et 13... pas terrible surtout pour une formation d'illustrateur. Mais l'important pour moi est que j'apprends vraiment beaucoup de chacun des devoirs, de la réalisation mais aussi des commentaires des professeurs. Je me suis un peu rattrapée avec le module Illustration jeunesse avec 15, 17, 16,5 et 15. Ouf.
Beaucoup de travail réalisé et encore beaucoup de travail à venir...
Finalement, je suis très contente de cette formation. Je n'ai pas eu de mauvaise surprise sur le contenu, l'envoi des colis ou la correction des devoirs. S'il fallait le refaire, je me relancerais avec plaisir. Par contre, il faut vraiment se lancer en se disant qu'il y aura beaucoup de travail et je déconseille aux personnes qui ne savent pas dessiner ou qui n'ont pas du tout d'expérience en la matière. L'enjeu pour moi est de trouver la motivation au jour le jour, après une journée de boulot et s'être occupé de la famille. Il ne faut pas s'essouffler avec le temps et pour l'instant je suis toujours à bloc. Je ne m'attendais pas par contre à tant de devoirs à rédiger ou de QCM, il faut une bonne dose de motivation pour les attaquer, ceux là. Mais encore une fois, c'est étonnant de voir que même avec ce type de devoirs, j'apprends énormément.
J'ai eu quelques déconvenues avec le module Dessin d'illustration avec 13,5, 14 et 13... pas terrible surtout pour une formation d'illustrateur. Mais l'important pour moi est que j'apprends vraiment beaucoup de chacun des devoirs, de la réalisation mais aussi des commentaires des professeurs. Je me suis un peu rattrapée avec le module Illustration jeunesse avec 15, 17, 16,5 et 15. Ouf.
Beaucoup de travail réalisé et encore beaucoup de travail à venir...
Finalement, je suis très contente de cette formation. Je n'ai pas eu de mauvaise surprise sur le contenu, l'envoi des colis ou la correction des devoirs. S'il fallait le refaire, je me relancerais avec plaisir. Par contre, il faut vraiment se lancer en se disant qu'il y aura beaucoup de travail et je déconseille aux personnes qui ne savent pas dessiner ou qui n'ont pas du tout d'expérience en la matière. L'enjeu pour moi est de trouver la motivation au jour le jour, après une journée de boulot et s'être occupé de la famille. Il ne faut pas s'essouffler avec le temps et pour l'instant je suis toujours à bloc. Je ne m'attendais pas par contre à tant de devoirs à rédiger ou de QCM, il faut une bonne dose de motivation pour les attaquer, ceux là. Mais encore une fois, c'est étonnant de voir que même avec ce type de devoirs, j'apprends énormément.
mercredi 7 août 2013
Dédicace
Il y a quelque temps, je suis passée au festival de BD de Beire Le Châtel. J'ai pu y rencontrer Clément Lefèvre, le temps d'une dédicace. Il a très gentillement dédicacé un exemplaire de Victor et son loup pour ma fille Romane. Cela fait un moment que je suis Clément Lefèvre - Les cartons de Nénent - via son blog ou Facebook.
Allez y faire un tour, c'est très beau.
Allez y faire un tour, c'est très beau.
Croquis de vacances
Je partage avec vous quelques petits croquis réalisés pendant les vacances, histoire de ne pas trop perdre le coup.
J'ai testé...
... l'atelier promenade du Musée des Beaux Arts de Dijon.
Aujourd'hui, de 14h30 à 16h30, j'étais au musée. Pas seulement pour regarder mais pour dessiner. Nous étions un groupe de 15 personnes -adultes et enfants à partir de 7 ans- à déambuler dans le musée avec notre petite planche à dessin et notre chaise pliante (n'oublions pas le confort...).
Pour 6 Euros, nous avons été accompagné par un artiste plasticien pour nous guider et réaliser un mini carnet de croquis du musée. Les minutes sont passées comme des secondes et nous sommes très vite arrivés à la fin des 2 heures. Nous n'avons fait que 3 salles au lieu de 4, mais ce n'est pas très grave. Le musée est gratuit, donc on peut venir terminer nos chefs-d'oeuvre quand on veut (ou quand on peut...).
Je me suis amusée à combiner les rideaux du salon Gaulin avec un motif egyptien.
Une façon agréable de découvrir le musée. Une mention pour le musée qui ne se contente pas d'être gratuit mais qui propose en plus des activités et visites sympathiques ! Le site est ici.
Et la première tranche des travaux se termine le 7 septembre à partir de quand il va y avoir des animations inaugurales !
Aujourd'hui, de 14h30 à 16h30, j'étais au musée. Pas seulement pour regarder mais pour dessiner. Nous étions un groupe de 15 personnes -adultes et enfants à partir de 7 ans- à déambuler dans le musée avec notre petite planche à dessin et notre chaise pliante (n'oublions pas le confort...).
Pour 6 Euros, nous avons été accompagné par un artiste plasticien pour nous guider et réaliser un mini carnet de croquis du musée. Les minutes sont passées comme des secondes et nous sommes très vite arrivés à la fin des 2 heures. Nous n'avons fait que 3 salles au lieu de 4, mais ce n'est pas très grave. Le musée est gratuit, donc on peut venir terminer nos chefs-d'oeuvre quand on veut (ou quand on peut...).
Je me suis amusée à combiner les rideaux du salon Gaulin avec un motif egyptien.
Une façon agréable de découvrir le musée. Une mention pour le musée qui ne se contente pas d'être gratuit mais qui propose en plus des activités et visites sympathiques ! Le site est ici.
Et la première tranche des travaux se termine le 7 septembre à partir de quand il va y avoir des animations inaugurales !
lundi 5 août 2013
Chat philosophe
J'ai été inspirée pendant mes vacances en me promenant. Un chat blanc était assis au beau milieu d'un pré fleuri. L'animal avait l'air de contempler les fleurs et de méditer profondément. Était-ce un chat philosophe ? Cette image m'a trotté dans la tête un moment puis j'ai décidé de la réinterpréter après coup à l'aquarelle. Voilà ce que ça a donné.
dimanche 4 août 2013
Portrait
Voici un petit portrait de Tessa d'après une photo prise fin mai. Elle est en faire assise dans l'herbe avec le château de Chambord à l'arrière plan (sur la photo). Pas de château sur l'aquarelle, juste Tessa qui est le sujet principal. Il y avait un beau soleil, mais le fond de l'air était un peu frais, d'où le gilet à capuche.
Je n'ai pas tout à fait réussi son expression "c'est le bonheur d'avoir les fesses dans l'herbe" mais on n'en est pas si loin.
Je n'ai pas tout à fait réussi son expression "c'est le bonheur d'avoir les fesses dans l'herbe" mais on n'en est pas si loin.