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vendredi 16 mars 2012

Peins-moi quelque chose qui ne meurt pas...

Dernière séance de portrait à l'atelier bleu. Mon choix s'est porté sur une couverture de livre de photographies de Christian Bobin et et Edouart Boubat "Donne-moi quelque chose qui ne meurt pas", ouvrage né d'une rencontre entre un écrivain et un photographe.

Je ne connaissais pas. Et d'ailleurs, maintenant je connais, mais uniquement la couverture du livre... En tout cas, avec des noms comme ça, on peut dire que ces deux là étaient faits pour se rencontrer (je redescends volontairement un peu le niveau, faudrait pas que ce blog devienne trop culturel, quand même...).

Revenons-en à l'aquarelle. Le sujet est de face, les yeux fermés. On voit ses deux mains et le pire, c'est qu'elles sont pleines de doigts. Délicat à dessiner et délicat à peindre. Heureusement, la photo est en noir et blanc. J'ai donc travaillé en monochrome sépia. Je n'étais pas mécontente que les couleurs ne compliquent pas le travail. Bon, le niveau de sépia en a pris un coup, le godet est quasi à sec. Faudra recharger tout ça.

Papier Le Centenaire
Pour ceux qui ne connaissent pas la photo d'origine, le garçon tient un coquillage dans les mains. Ça ne doit pas être évident à voir sur l'aquarelle (j'ai eu du  mal à le voir sur la vraie photo...).

1 commentaire:

  1. Tu as très bien retranscris cette superbe photo de Boubat : belle aquarelle monochrome.

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